PISE – DIASPORA (SIWEL) — « Tizi Uzzu, Kabylie, le 25 Juin 1998. Le jour où la tragédie algérienne entamait son prélude…
L’auteur-compositeur algérien, le plus populaire de son temps, Lounès MATOUB, idole incontestée de tous les Algériens sans exclusive, venait d’être lâchement assassiné en Kabylie, au pays des scélérats.
A la minute qui suit l’annonce de ce crime odieux, tous les Algériens à l’unisson sortaient spontanément dans les rues manifester leur colère dans toutes les grandes villes d’Algérie : Constantine, Oran, Annaba, Biskra, Saida, Laghouat, Tlemcen, Tébessa, Sidi Bel Abbes, et y compris à Alger. En Kabylie par contre personne n’avait osé mettre le bout de son nez dehors. Et pour cause ! C’est chez eux qu’on vient de commettre cet inqualifiable crime. »
Extrait de la chronique de Dahmane At Ali dans laquelle il tourne en dérision l’inversion des rôles quand les bourreaux s’érigent en victimes et que les victimes ne sont rien d’autre que des scélérats. Voici la tragique histoire de la Kabylie au sein de l’Algérie assassine en version » à l’envers « …