Le harcèlement policier contre les militants du MAK se poursuit
TIZI-OUZOU (SIWEL) — Mercredi de la semaine dernière, deux étudiants et un lycéen, tous les trois militants du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK) ont été arbitrairement interpellés par la police près du state Oukil Ouramdane. Ils ont été sommés de « montrer » leurs papiers avant d’êtres embarqués dans une voiture de police, comme de vulgaires criminels, au commissariat le plus proche. Une attitude que les éléments de police algérienne ont interdiction absolue d’avoir face aux terroristes « repentis » de Bouteflika dont ils sont, au contraire, chargé d’assurer la sécurité et le bien être, en particulier, ne pas être embêtés par les familles des victimes de leurs actes criminels.
