Le problème Touareg est, et restera encore longtemps, un problème « sans solution », tant que…
ALGER (SIWEL) — Après plus de 8 mois de pressions et de tractations douteuses, de menaces et d’intimidations, le tout organisé sous les bons auspices de l’Algérie, l’ONU, la France, l’Union européenne et la CEDEAO (Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest), l’accord d’Alger prévoit donc la création d’assemblées régionales aux « pouvoirs étendus » et reconnaît à l’Azawad une «réalité humaine et politique» mais sans « statut politique et juridique » tel que revendiqué par le MNLA depuis la signature des accords de Ouagadougou ; une garantie que lui avait alors fait miroiter la communauté internationale, la France en particulier, pour que celui-ci renonce à l’indépendance de l’Azawad proclamée le 6 avril 2012.