TIZI-OUZOU (SIWEL) — La haine viscérale que nourrit le nommé Brahim Merad à la liberté naturelle du peuple kabyle n’est un secret pour personne, tout comme son «obsession» du MAK.
Anti-kabyle viscéral, exerçant les fonctions de premier commis de l’Etat algérien à Tizi-Ouzou, Brahim Merad a profité de la session de l’APW (30 & 31 mars 2016) pour déverser son fiel contre le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) qu’il a accusé d’avoir « reçu une mission de l’étranger pour diviser le pays et porter atteinte à l’unité nationale algérienne »…
Dans ses attaques au vitriol contre la nation kabyle, ses défenseurs et ses représentants légitimes, le préfet Brahim Merad en est même arrivé à reprocher aux deux partis à base kabyle, le Front des Forces Socialistes (FFS) et le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) de nourrir «probablement» de la «sympathie»… pour le MAK (sic !)