Le portrait disparu de Tahar Djaoût…
KABYLIE (SIWEL) — La stratégie du régime colonial d’Alger est en parfaite adéquation avec le principe de la « Taqia » dans le sens où il fait mine de rendre hommage à de grands noms kabyles, tels que les huit (8) colonels kabyles de l’ALN, ou encore à des artistes et des écrivains comme Matoub Lounès, Mouloud Mammeri ou Tahar Djaout.
En effet, c’est en grande pompe qu’ils leur érigent des stèles qu’ils entreprennent aussitôt de détériorer une fois les inaugurations passées et après que celles-ci aient été copieusement médiatisées par la presse algérienne.