PARIS (SIWEL) — La célébration du 14 juillet, fête nationale française, a encore été cette année l’occasion de réaffirmer la France coloniale. Comme les zouaves et les tirailleurs sénégalais d’antan, les Etats africains sont venus à Paris parader et montrer « patte blanche » à leur génitrice qui décide du sort de ses président , tout comme elle décide « souverainement » du droit de vie ou de mort des peuples d’Afrique, casés par les tracés coloniaux, dans des Etats artificiellement crées pour être inféodés à la France dans l’unique perspective de préserver ses intérêts dans toutes ses « anciennes » colonies. Cette année l’Algérie qui terrorise les peuples autochtones du Mzab et de Kabylie, a été partie prenante de la fête nationale française.