Mois : février 2016

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    Samedi 13 février à Bruxelles : Vente dédicace de « Noel en otage » avec Ferhat Mehenni & Concert avec Cherif Mamani

    BRUXELLES (SIWEL) — Le Samedi 13 février 2016, l’association culturelle organise
    2 activités successives. La première est la vente dédicace de « Noel en otage » qui se passe au centre culturel flamand de De Pianofabriek. (Rue du Fort, 35 à 1060 Bruxelles – (Saint-Gilles). A 16 h 00 : rencontre avec Mas FERHAT MEHENNI, président du GPK (Gouvernement Provisoire Kabyle) à la salle CALCUTTA, située au 2e étage.
    La vente sera suivie à partir de 20 h 00 d’un concert avec CHERIF HAMANI à la salle BUENOS AIRES située au 1er étage.

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    Saadia, jeune kabyle surdouée à Angoulême, gagne le prix de la résistance et de la déportation

    ANGOULÊME-DIASPORA (SIWEL) — Elle s’appelle Saadia, elle a 16 ans, elle a 18/20 de moyenne et a remporté le Concours de la résistance. Sur une centaine de finalistes, Saadia Aberbour a remporté le premier prix ex æquo avec trois autres élèves français du Concours national ( français, ndlr) de la résistance et de la déportation ouvert à tous les collégiens et lycéens du territoire français.

    Objectif du concours : écrire un texte sur ladite période. Tout est examiné par le jury, de la syntaxe à la profondeur des propos.

    Saadia a tout gagné. « J’ai écrit onze pages. J’ai dû faire la différence grâce à des témoignages d’anciens déportés que j’avais rencontrés et intégrés dans mon texte.»

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    Tizi Ouzou / Bastos : Protestation des étudiantes devant le portail de la cité universitaire

    TIZI WEZZU (SIWEL) — Suite à l’agression d’une étudiante dans l’enceinte de la cité universitaire Hasnaoua II (Bastos) par un policier algérien , les étudiantes ont organisé hier soir une manifestation pour protester contre l’insécurité et la violation des franchises universitaires.

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    Kamira Nait Sid : l’injustice en flagrant délit

    TIZI WEZZU (SIWEL) — Le pouvoir algérien ne recule devant rien pour intimider et faire pression sur les militants et les activistes kabyles. Certains de ces procédés sont d’un ridicule manifeste, mais comme le ridicule ne tue selon l’adage, reste la mobilisation. Enquête de Zahir Boukhelifa :