Alger-Paris / Les ministres algériens traités comme des moins que rien
PARIS (SIWEL) — Samedi dernier, alors que le ministre algérien de la Communication, Hamid Grine se trouvait dans le salon d’honneur avec le chef du protocole de l’ambassade d’Algérie en France, la police française des frontières a sommé le ministre algérien de se soumettre à une fouille corporelle…
Pour rappel, après les ministres de l’Habitat, Abdelmadjid Tebboune, et le ministre de l’Industrie, Abdeslam Bouchouareb, Hamid Grine est le troisième ministre algérien « connu » à avoir fait l’objet d’une fouille corporelle comme un vulgaire contrebandier ou un terroriste potentiel … ce qui n’est évidemment pas très loin de la réalité, l’Etat algérien étant le principal producteur de terrorisme islamiste en Afrique du Nord et au Sahel ; Aqmi et Ansar Dine, pour ne citer que les derniers-nés, sont deux organisation islamiste terroriste de facture algérienne, comme plus personne ne l’ignore.