DIASPORA (SIWEL) — » Dès le départ, alors que le régime algérien avait annoncé qu’il fut tué par des supporters révoltés par la défaite de leur équipe fétiche, l’Anavad (Gouvernement Provisoire Kabyle en exil) avait averti que cet acte n’était pas un crime ordinaire, à verser dans les faits divers, mais celui d’une stratégie politique visant à porter atteinte à l’image de la Kabylie sur la scène internationale. Les officines algériennes des coups tordus estiment que pour barrer la route au Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie et à l’Anavad, il y a lieu d’en ruiner l’audience internationale en faisant endosser aux Kabyles les pires horreurs qu’elles vont elles-mêmes provoquer. Elles pensent que la méthode qui a eu raison des écervelés djihadistes, allait marcher contre les démocrates kabyles. C’est la raison pour laquelle, un mois plus tard, Hervé Gourdel, cet alpiniste français, fut sciemment attiré dans un traquenard organisé par ces mêmes officines, en « l’invitant » en Kabylie pour y être enlevé, puis décapité le 23 septembre dernier. » Ci-après l’intégralité du communiqué