« Je suis heureux d’avoir rencontré le ministre marocain des Affaires étrangères, #Nasser_Bourita, pour discuter de notre #partenariat de longue date et de notre engagement en faveur de la paix dans la région, notamment de la #stabilité du #Sahara_occidental face aux #terroristes du Polisario. Les #États_Unis soutiennent le #Maroc pour la paix. »
Cette déclaration marque un soutien explicite des États-Unis au Maroc contre les agissements du #Polisario, groupe soutenu depuis des décennies par le régime algérien. Le message révèle un tournant : l’Algérie, longtemps dissimulée derrière son discours de non-ingérence, est de plus en plus pointée du doigt pour ses accointances dangereuses avec des organisations terroristes, non seulement au Maghreb, mais également au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne.
L’Algérie, financeur occulte du Hamas et d’autres groupes radicaux
Des rapports récents issus de services de renseignement occidentaux confirment l’implication croissante de l’Algérie dans le financement d’organisations #terroristes, notamment le #Hamas – organisation considérée comme #terroriste par les États-Unis, l’#Union_européenne et d’autres pays occidentaux. À travers des réseaux financiers opaques et des alliances régionales douteuses, Alger utilise le levier du soutien aux groupes armés pour affirmer une influence régionale qu’elle n’a jamais véritablement méritée.
Un régime qui réprime chez lui et accuse ailleurs
Alors qu’elle se veut défenseuse des peuples opprimés à l’extérieur, l’Algérie #piétine sans relâche les #droits du peuple #kabyle sur son propre sol. Ce peuple millénaire, qui lutte #pacifiquement pour son droit à l’autodétermination et pour la #reconnaissance de la #Kabylie comme nation indépendante, fait face à une répression #brutale : arrestations massives, détentions arbitraires, interdictions d’organisations pacifiques, fermeture de médias indépendants, etc.
Plutôt que de faire son introspection, le régime algérien multiplie les accusations contre le Maroc et Israël, les érigeant en boucs émissaires de ses propres échecs internes. En agitant le spectre d’un ennemi extérieur, Alger tente désespérément de détourner l’attention d’une jeunesse en révolte, d’une économie en déroute, et d’une population privée de libertés fondamentales.
L’Algérie, un État à deux visages
Alors que des voix internationales – à l’image de Jean Wilson – s’élèvent pour affirmer des alliances claires avec des États engagés pour la paix comme le #Maroc, l’Algérie s’enlise dans une logique d’agressivité régionale, de soutien au #terrorisme et de répression intérieure. Il est temps que les vérités soient dites, que les masques tombent, et que le peuple kabyle, tout comme les victimes des groupes soutenus par #Alger, soient enfin écoutés.
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