NAYPYDAW (SIWEL) — Le pouvoir birman choisi l’ouverture et le dialogue avec l’opposition, mais aussi avec les groupes armés des minorités ethniques, qui depuis l’indépendance de la Birmanie, se battent pour plus d’autonomie.
Depuis l’indépendance en 1948, de nombreux groupes minoritaires, qui représentent 1/3 des 50 millions d’habitants de la Birmanie, n’ont jamais accepté de pacifier leurs rapports avec le pouvoir birman. Une guerre civile oppose la capitale à certains de ces groupes, qui réclament plus de droits et d’autonomie.
Dans le milieu des résistants au pouvoir central, les discussions sont accueillies avec enthousiasme dit-on, "un bon signe" pour l’avancement des droits de l’homme à l’encontre des minorités ethniques.
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SIWEL 221232 NOV 11