NON au révisionnisme politique/ La Kabylie ne se laissera plus déposséder des combats qu’elle a mené seule contre tous
(SIWEL) — Abattu le 27 avril 2001 par la gendarmerie algérienne à IΣezzugen, Kamel Irchen représente pour la jeunesse kabyle un symbole très fort de la résistance du peuple kabyle. Avant de s’éteindre, kamel Irchen a écrit en lettre de sang une des nombreuses page noire de l’Histoire de la Kabylie à la recherche de sa liberté perdue. Sur un mur de la ville où il a été impunément assassiné par la gendarmerie algérienne, kamel Irchen écrit avec son sang « Liberté ». Cette liberté, chèrement revendiquée par le sang de la jeunesse kabyle ne saurait faire l’objet d’un révisionnisme politique qui voudrait encore une fois déposséder la Kabylie des combat qu’elle a mené seule contre tous.