PARIS(Siwel) —L’événement s’est produit l’après-midi de la journée du mardi 8 septembre 2020 au 20e arrondissement de Paris. L’agresseur, un homme d’origine arabe, s’est attaqué au président du gouvernement provisoire kabyle en criant « vive la Palestine ! » : un slogan cher aux adeptes de l’idéologie arabo-islamiste et du régime colonial algérien qui ne cessent d’afficher d’ailleurs leur racisme et violence envers tout ce qui est kabyle.
Le malfaiteur a proféré des menaces de mort contre le président du MAK-Anavad en hurlant : « On va lui faire la peau !» : un acte de violence dirigé contre l’ensemble des citoyens kabyles qui militent pour leur dignité et leur liberté, lorsque nous savons que monsieur Ferhat Mehenni est le leader du mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie.
Les services de sécurité française ont été alertés. Rapidement, ils se sont rendus sur le lieu de l’agression pour constater la fin de cette attaque infâme. Ils ont enregistré la plainte et la victime a par la suite rassuré ses proches et les militants à travers une vidéo publiée sur Facebook.
L’agresseur amoché a pris la fuite traînant avec lui sa lâcheté devant le grand et l’imperturbable Ferhat Mehenni.
Le président du MAK-Anavad avait souvent fait l’objet de menaces de la part des services de sécurité algériens, des salafistes […] des islamistes intégristes, lesquels ont lancé publiquement des appels au meurtre contre lui, en l’occurrence Naima Salhi, présidente du Parti de l’équité et de la proclamation et députée à l’Assemblée populaire algérienne, Mohamed Larbi Zitout, ancien diplomate algérien, et Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN de février 2005 à février 2013 et Premier ministre algérien, qui voulait bombarder littéralement la Kabylie.
À la différence des mégères et des anti-kabyles qui tentent de minimiser ce crime odieux, des messages de soutien et de solidarité arrivent de partout et foisonnent sur la toile dès l’annonce du guet-apens perpétré contre Ferhat Mehenni, un grand militant pacifique, défenseur des causes nobles, la première desquelles l’autodétermination de la Kabylie.