Ils revendiquent principalement le retour de leur entreprise à son ancien statut d’entreprise économique publique. Du coup, la production dans cette unité est quasiment à l’arrêt.

Cette unité, relevant de l’ex-ENCG (Entreprise nationale des corps gras) a été rachetée par le groupe La Belle, spécialisé dans l’agro-alimentaire, dans le cadre de la privatisation des entreprises publiques. Mais ce dernier n’aurait pas pu assurer la relance dans un environnement fortement compétitif, ce qui aurait provoqué une situation de déficit chronique, d’après les grévistes.

Les dirigeants estiment que les grévistes sont manipulés par des concurrents qui ne voudraient par de leur présence dan ce secteur dans la région. Ils accusent les travailleurs contestataires de mener une action illégale.

L’affaire est actuellement portée en justice, laquelle devrait trancher incessamment sur la légitimité de la grève en question, avons-nous appris

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SIWEL 301450 MAR 11