L’entretien a porté sur les analyses que fait le parti de Sadi sur la situation générale à l’occasion de la rentrée sociale et des échéances à venir, et sur les perspectives politiques dans le pays.

Le chef du RCD a évoqué avec l’ambassadeur les thèmes ayant trait aux dernières décisions politique prise par le pouvoir d’Alger notamment la centralisation administrative du nouveau code communal, le recul des droits de la défense, les ambiguïtés du projet de loi sur l’ouverture de l’audiovisuel, la censure et « les indécisions qui accompagnent la demande de surveillance internationale des élections » qui sont, pour le RCD, « autant de signes qui dévoilent une stratégie inspirée par la tentation du statu quo ».

Rappelons que la presse pro-gouvernementale a souvent reproché à Saïd Sadi ses « fréquentations avec les chancelleries étrangères », en l’accusant d’accointances avec des officines notamment françaises dans le but « déstabiliser » l’Etat algérien.

asd
SIWEL 090205 OCT 11