PARIS (SIWEL) — Selon Mohammad Riad Shakfa, leur leader en exil, «le peuple syrien acceptera une intervention [en Syrie] venant de Turquie, plutôt que de l’Occident, s’il s’agit de protéger les civils. (…) Nous pouvons avoir besoin de demander davantage de la Turquie, car c’est un voisin».
Pour rappel, la Ligue arabe a donné trois jours à Damas pour mettre fin à la répression de la contestation, les tractations diplomatiques se poursuivent et l’idée d’une intervention étrangère continue de créer la polémique. En visite à Moscou, la chef de la diplomatie de l’Union européenne, Catherine Ashton, a appelé, hier, jeudi 17 novembre, à la démission de Bachar Al-Assad, chef de l’Etat syrien.
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SIWEL 181519 NOV 11