Le cinéaste déclare : « il est temps que notre Histoire soit écrite par nous et non par les seuls étrangers et surtout qu’on se réconcilie avec notre passé.  »

Djamel Ait iften entend faire de son oeuvre, un travail de réhabilitation historique. Il déclare :«  je veux par mon travail réhabiliter notre Histoire non falsifiée et surtout tirer ces personnalités kabyles de cet oubli forcé. Mettre fin à tous les hiatus historiques dont ils sont victimes. »
Présenté au dernier festival du film amazigh à Azeffoun. La prochaine projection de Ahmed Oulqadi, un roi Kabyle, aura lieu au mois de juillet à la cinémathèque d’Oran.

Outre ce documentaire que le cinéaste présente comme le premier volet d’une saga, Djamel Ait Iften déclare préparer 4 autres volets. Le suivant encore à l’écriture devrait concerner la période post royaume de Koukou et la fondation de Tizi-Ouzou et de la famille Ait Kaci, suivrait la révolte de 1871 et Cheikh Aheddad puis la naissance du nationalisme algérien et la crise berbériste de 1949. Le dernier de la saga devrait quant à lui traiter de la wilaya III pendant la guerre de libération.

Parallèlement, le cinéaste envisage d’autres projets dont l’un sur Mohya et l’autre sur le Printemps Noir.

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SIWEL 102243 JUIN11