Les mêmes sources ont précisé que le choix d’un hôpital suisse répond à la nécessité de l’éloigner de la France, où les médias auraient envahi le Val-De-Grâce pour avoir « le scoop », surtout au moment où l’otage était encore entre les mains de ses ravisseurs. Cette même information sera confirmée par le président français François Hollande, alors en déplacement à New York, lorsqu’il a répondu à une journaliste que le « président Bouteflika est malade ».

De son coté, le pouvoir algérien a annoncé que « Bouteflika a ordonné l’ouverture d’une enquête judiciaire sur le rapt et l’exécution d’Hervé Gourdel ». Une manière pour eux et surtout pour Bouteflika de dire : « je suis toujours là ».

A rappeler que les autorités françaises n’avaient comme interlocuteur en Algérie que le Premier ministre Abdelmalek Sellal. A ajouter que lors de la réélection de Bouteflika, François Hollande a « rassuré » que Bouteflika est capable de terminer son mandat.

aai
SIWEL 162528 SEP 14