ALGER (SIWEL) — Non satisfait de produire des islamistes via l’école algérienne, l’Etat algérien décide de mettre à contribution son administration pénitentiaire pour augmenter ladite production.
La méthode algérienne de réinsertion des délinquants consiste à mettre en place des «mesures incitatives» au profit des récitants du Coran, dont la liberté conditionnelle, la semi-liberté et les autorisations de sortie.
Ainsi, il y a déjà 422 imams et mourchidates, (sortes de suppléantes aux imams), qui prennent en charge «l’encadrement religieux» au niveau des établissements pénitentiaires algériens.
Par ailleurs, le directeur de «l’orientation religieuse» et de l’enseignement du Coran au ministère algérien des Affaires religieuses et des Wakfs a affirmé que le rôle de ces imams et des mourchidate dans le «redressement» des prisonniers est un «appui» à l’établissement pénitentiaire. Il a donc appelant à augmentation le nombre de ces encadreurs religieux.
Sachant que le premier producteur d’islamistes, potentiellement terroristes, est l’école algérienne, comme peut en témoigner les milliers de terroristes de la décennie noire et son macabre palmarès, l’Etat algérien a décidé de compléter ses effectifs en mettant à contribution l’administration pénitentiaire qui transformera les délinquants et toute sorte de détenus de droit commun en islamistes.
Sachant que les islamistes, surtout quand ils sont terroristes « repentis », bénéficient de toutes sortes de bienveillantes attentions de la part de l’Etat algérien, il y a fort à parier que la délinquance algérienne va connaitre une spectaculaire augmentation.
Source El Moudjahid
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SIWEL 241722 FEV 16