Montréal (SIWEL) — Le consulat d’Algérie à Montréal est devenu un lieu de débauche et d’escroquerie où même le Consul général, Abdelghani Cheriaf, entretient des relations extra-conjugales dans les locaux de cet établissement avec l’une de ses employées qu’on surnomme madame H.
La maitresse d’Abdelghani Cheriaf a été déjà impliquée dans une affaire de fraude de cartes de crédit. Ayant accès au consulat d’Algérie à Montréal, elle s’introduit illégalement dans les fichiers de renseignements personnels des citoyens pour voler des informations confidentielles. Elle transmet ensuite ces données à sa fille qui travaille dans une institution financière afin de les utiliser pour produire des cartes de crédit dans le but de gagner des bonus et des récompenses.
C’est suite à plusieurs plaintes de clients qui ont reçu des cartes bancaires sans formuler une demande qu’une enquête a eu lieu et que madame "H" et sa fille ont été démasquées. Abdelghani Cheriaf, représentant de l’État "algérien" à Montréal, n’a pas hésité à mobiliser les services juridiques du consulat pour défendre sa dulcinée devant la justice canadienne.
Ce consulat est à l’image de l’Algérie qu’il représente et les services dédiés à ses ressortissants correspondent à ceux qui sont offerts au peuple par l’admiration algérienne. C’est évident, qui servent les escrocs ne servent pas le peuple. Ces gens ont certes changé de pays mais ils n’ont pas changé leur mentalité de sous-développés. Ils sont au Canada juste pour servir leurs vilains maîtres et leur narcissisme hideux, déclare Linda venue pour renouveler son passeport.
Des scènes quotidiennes abjectes ! À l’accueil de ce consulat on tombe souvent sur un agent qui lit ou qui écoute le coran au lieu d’assurer la tâche pour laquelle il est payé. Travailler. Aussi, on manquera jamais celui qui s’amuse à remplir les rubriques de mots croisés. Il y a bien d’autres comportement déplorables et irresponsables comme ces employés qui quittent leur poste pour aller saluer un proche qui arrive, pour parler au téléphone, pour fumer une cigarette, pour s’occuper d’un dossier d’un privilégié ou juste pour jaser entre collègues en délaissant des gens venus souvent de loin et en s’absentant au travail pour attendre plusieurs heures dans les salles de ce "bordel", ils n’ont ni courtoisie ni respect envers les citoyens. Vraiment, j’ai honte d’être Algérien, témoigne Kamel venu pour demander sa carte consulaire.
La bureaucratie gangrène cet établissement et la transparence n’est pas l’apanage de ses occupants. Tout se règle en cash ici et nul paiement n’est accompagné d’un reçu. Les citoyens payent même les services d’état civil, idem pour l’assermentation des autorisations de voyage pour les enfants mineurs qui doivent accompagner un seul parent. L’assermentation de ce document de voyage est offerte gracieusement par certaines institutions financières canadiennes à leurs clients, assure Adem rencontré devant l’entrée du consulat.
Depuis bien longtemps il n’y a que le peuple qui suffoque pendant que les représentants de l’Algérie se livrent à des pratiques de rapt et de distraction. Le régime algérien est médiocre, tel il a été et ainsi il sera tout le temps et partout même au pays des anges et des merveilles.
Concernant ce scandale de perversion, seul le quotidien national d’informations Mon Journal a osé faire part de cette affaire sinon c’est silence radio dans tous les médias.
Boualem Afir,
SIWEL 031207 FEV 17