ALGER (SIWEL) — Dénouement de l’affaire opposant la famille Sadi à Hichem Aboud et Smaïl Mira, et aux deux titre de presse algérienne « Echourouk « et « Mon journal », qui ont accusé le défunt Amar Sadi, le père de l’ancien secrétaire général du RCD, Said Sadi, d’être un harki protégé par le colonisateur français. Le juge a décidé de condamner les accusés à des amendes.
Le tribunal de Hussein Dey a condamné Smaïl Mira, maire de Tazmalt ( mais également patriote accusé d’assassinat sur un jeune manifestants en 1998, lors des événements qui ont suivi l’assassinat de Matoub Lounes ), à 20 000 DA d’amende et Hichem Aboud, à 100 000 DA. Les deux condamnés doivent verser à chaque membre de la famille Sadi la somme de 20 000 DA. Le même verdict est prononcé contre le journal arabe algérien « Echourouk ».
Pour rappel, la famille Sadi avait porté l’affaire devant le tribunal après les déclarations de Smaïl Mira dans la presse algérienne, notamment à Echourouk et Mon journal et dans lesquelles il avait accusé le père Said Sadi d’être un harki, condamné par le FLN mais protégé par les Français.
Pour rappel, la famille Sadi avait porté l’affaire devant le tribunal après les déclarations de Smaïl Mira dans la presse algérienne, notamment à Echourouk et Mon journal et dans lesquelles il avait accusé le père Said Sadi d’être un harki, condamné par le FLN mais protégé par les Français.
Il avait fourni un document que l’expertise a rejeté du fait qu’il était produit par un micro-ordinateur, une machine qui n’existait pas à l’époque de la colonisation.
dm
SIWEL 07 1442 AVR 14