ORAN (SIWEL) — Décidément Mohamed Bedjaoui traine les casseroles à n’en plus pouvoir. Au scandale Sonatrach qui l’avait éclaboussé, le voilà au centre d’une affaire de plagiat de thèse.

 

Après l'affaire Sonatrach : Mohamed Bedjaoui au centre d'un nouveau scandale
Après l’affaire de Sonatrach, une nouvelle affaire qui met en doute l’intégrité et la notoriété scientifique de Mohamed Bedjaoui vient d’être déclenchée en France. D’ailleurs, l’universitaire Jean Noel darde met en lumière "La distraction de Mohammed Bedjaoui – "professeur, expert international", notamment ancien ministre algérien de la justice (1964-1970), ancien Président de la Cour internationale de justice de la Haye (1994-1997), ancien membre du Conseil constitutionnel de la République algérienne démocratique et populaire (2002-2005) et ancien Ministre des affaires étrangères (2005-2007)" pour exprimer son incompréhension de l’affaire de plagiat qu’il traite, à part un éventuel lien entre le docteur plagiaire et l’ancien ministre.

Il s’agit dans cette affaire qui va faire parler une nouvelle fois de la faculté de Droit de l’université d’Oran, après l’affaire des faux bac, mais cette fois d’une thèse de doctorat plagiée à 100 % soutenue à l’université de Lyon III, qui a permis au plagiaire d’avoir le poste de maître de conférences à la faculté de Droit.

Sachant bien que le directeur de thèse est M. Christian Philipe, représentant personnel du président Nicolas Sarkozy pour la Francophonie, durant la même période où M. Bedjaoui occupé son poste de ministre des Affaires étrangères (la même période de la première inscription en doctorat) soulève plusieurs questions. LE DOSSIER

le matin/siwel
03 1514 juil13

Laisser un commentaire