TAROUDANT (SIWEL) — Dans un article intitulé « Beautés berbères, de Taroudant à Tafraout », la publication relève qu’au sud de Marrakech, en s’enfonçant dans le Haut Atlas, un autre Maroc se révèle avec une plaine déserte, des routes à lacets et des hôtels de charme, qui, chacun, racontent une histoire.
Le quotidien s’arrête aussi sur le sanctuaire du rabbin Haïm Ben Diwan où se déroule un pèlerinage chaque année en mai, qui attire sur ce chemin de terre rouge des juifs marocains et d’autres pays. "Ils s’y
recueillent sur des tombeaux en pierre gravés en hébreu et protégés par un jardin clos, à ciel ouvert, dans une sérénité totale", affirme l’auteur de l’article.
Par ailleurs, au col de Tizi-N-Test, à 2.100 mètres d’altitude, porte d’entrée de la province de Taroudant, il y a une vue, indiciblement profonde, dans laquelle se jettent les parapentistes, ajoute le quotidien.
La progression de village en village à l’ombre des palmiers donne tout son sens à un voyage en voiture d’autant plus que les chants proprement assourdissants des oiseaux enivrent, indique le journal, faisant observer que "dans la fraîcheur de cette vallée bordée par les montagnes arides, on se dit que cette route étroite et malaisée est sans doute une des plus belles au monde".
Source LeMag
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