CHRONIQUE (SIWEL) — 2017, Algérie ou l’odyssée de la fraude électorale ou de la fraude tout court. Un pays qui va à vau l’eau. Un pays qui sombre dans la fraude électorale et la corruption. L’arrogance de la fraude au vu et au su de tous est telle que les bureaux de vote ressemblent à des stades de football envahis par des « One two Three ». Oui ces supporteurs de l’équipe nationale de ce pays qui cassent tout à chaque défaite de leur équipe et dont les voyous du clan colonial d’Oujda ont peur et chouchoutent.
Bagarre générale autour des urnes, insultes, coups de poings, coups de pieds, chacun tente de bourrer les urnes avec les bulletins de son candidat. Allez Zouuu le « vote » !
Nous aurons beau chercher dans Platon, Confucius, Voltaire ou Montesquieu une explication, une raison à cette faillite morale (oui, d’accord, la morale évolue mais…), éthique, politique qui tire ce pays appelé « Algérie » vers les tréfonds des ténèbres de l’absurde et du sordide, nous n’en trouvons pas. Nous sortons des grilles de lecture du monde civilisé.
Des mots terribles et accusateurs sont utilisés et repris dans la presse Française. Le grand journal du soir, Le Monde, journal de référence, donne le ton et en parle dans un éditorial sulfureux à charge contre le régime.
Célian Macé, Envoyé spécial à Alger du journal Libération parle « de défaite générale »
Euronews décrit un Président Bouteflika « sur un fauteuil roulant assisté par l’un de ses gardes du corps mais c’est l’un de ses neveux qui a du mettre le bulletin dans l’urne, faute de pouvoir le faire lui-même… ».
La liste est longue de ces journaux occidentaux qui raillent, s’amusent, méprisent, ce clan colonial d’oujda qui s’impose à son peuple algérien par la force et la brutalité.
La presse occidentale a repris ces images et ces vidéos venues de ce pays « Algérie » où le mépris des règles élémentaires est assumé toute honte bue.
Comme dans la vieille chanson populaire Française qui raille l’impuissance d’un homme face à sa compagne, c’est ainsi à l’Ami Pierrot, que semble s’adresser Bouteflika : « prête moi ta plume, pour écrire un mot, ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu » semble dire et quémander ou nous faire penser ce président qui cherche une main salvatrice pour se débarrasser d’un papier entre les doigts dont il ne sait plus à quoi il sert.
Images d’Algérie, images d’un pays délabré et en déliquescence avancée, bientôt on parlera de souvenir d’Algérie.
Échecs, fraudes, incompétences, clanismes, violences et brutalités, mode d’emploi, bienvenue en Algérie.
Menal At Qasi
SIWEL 071250 May 17 UTC