TIZI-OUZOU (SIWEL) — la période estivale et son lot de baigneurs tourmente les esprits pervers des protégés du régime algérien : les pieux frères islamistes. En effet, les barbus du régime algérien, « délocalisés » à Tizi-Ouzou, « exhortent » les kabyles à ne pas se rendre sur les plages au risque de provoquer des «fantasmes sexuels» car «se baigner, pour les deux sexes signifie se déshabiller et c’est un péché capital dans la religion» disent-ils. Ces «gardiens de la morale» n’ont jamais condamné, ni mené campagne contre le mariage «licite» des fillettes que leurs semblables vendent à des vieillards pervers comme ce fut le cas, il y a une semaine, de la petite afghane de 8 ans, morte sur son «lit de noce» après que son très «honorable mari», et non moins chef religieux, ait en toute légalité assouvis son «fantasme» qui ne constitue pas un «péché capital» dans la secte islamiste.
Ces intégristes, dont beaucoup sont des terroristes amnistiés par Bouteflika, et «délocalisés» en Kabylie, arborent les alentours des mosquées, récitent des versets coranique et animent des campagnes de moralisations sur le «péché commis par les baigneurs» parce que «Se baigner, pour les deux sexes signifie se déshabiller et c’est un péché capital dans la religion»; car ça risque de «provoquer des fantasmes sexuels». On aura tout entendu avec la secte islamiste.
Ce qui est étrange, c’est que personne n’a jamais entendus ces pieux «Ikhouanes» et ces pieuses «moutahadjibates» dénoncer les «fantasmes sexuels» légalement assouvis par leurs semblables sur des enfants vendues à des pervers. A-t-on jamais entendus ces «gardiens de la morale» sermonner leurs pieux semblables et leurs «savants» qui justifient ces actes notoires de pédophilie ? La dernière victime de leurs «pieux fantasmes» est une petite afghane de 8 ans retrouvée morte sur son «lit de noce».
L’abominable sort réservé à cette enfant a été rapportée la semaine dernière par un journaliste afghan, correspondant de guerre dans son malheureux pays. Sur son mur facebook, Mustafa Kazemi, au vu des risques encourus, est le seul de sa profession à avoir rendu public cet acte notoire de pédophilie légale : Une enfant de 8 ans de la province de Nimruz (afghanistan) a été vendue en mariage à un mollah (chef religieux) de 50 ans, marié et lui-même père de nombreux enfants. Ce mollah, au physique imposant, a assouvi ses plus bas instincts au prix de la vie de l’enfant. On passera sur l’horreur des détails mais l’enfant, qui était en plus de frêle constitution, a été retrouvée, après une nuit d’agonie, morte, vidée de son sang, sur son «lit de noce».
La Kabylie n’a pas de leçon de morale à recevoir de la part des sectes religieuses qui pratiquent, légitiment et légalisent ce genre d’abominations quelle que soit la religion, la tradition ou la culture au nom desquelles ils les pratiquent. En Kabylie, la religion a de tout temps été marquée par la spiritualité et non par le dogmatisme ou son instrumentalisation politique. Le discours politique islamique n’a jamais existé. Il a été farouchement combattu par toutes les franges de la société kabyle, y compris par les religieux qui ne retiennent de la religion que la spiritualité, dépourvue de dogmatisme, telle qu’elle a été transmise au fil des générations.
Au grand damne du régime algérien, l’islamisme ne s’est jamais imposé en Kabylie malgré l’ampleur des moyens mis en action. Avec tout ce qu’il a coûté en régression et en vie humaine, le régime algérien tente encore d’imposer l’obscurantisme religieux qu’il a institutionnalisé à travers ses écoles et sa justice et à travers ses terroristes dont il a officiellement lavé les crimes avant de les distiller en Kabylie pour ronger la société kabyle de l’intérieur.
En délocalisant ses islamistes et ses terroristes, le régime tente de faire d’une pierre deux coups : d’une part, déstabiliser la société kabyle en y introduisant "de force" le virus islamiste et d’autre part, enfoncer davantage la Kabylie dans le marasme économique qu’il a savamment orchestré en achevant le tourisme balnéaire kabyle déjà mis à mal depuis la délocalisation du terrorisme islamique en Kabylie, suite à l’amnistie générale accordé aux milliers de criminels terroristes qui activement et circulent librement, contrairement aux démocrates et aux laïcs, harcelés par l’État algérien.
Avec Tamurt,
zp,
SIWEL 271708 MAI 13